ACG-1 Belge (Renault AMC 35 ACG-1 Belge) (Proposition)

par **Yoyofree** Ven 24 Déc 2021 - 3:09

ACG-1 Belge - Char Moyen Belge Tier III (Proposition)
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L'AMC 35 (de l'Automitrailleuse de Combat Renault modèle 1935), également connu sous la désignation d'un constructeur Renault ACG-1,
était un char de cavalerie moyen français de l'entre-deux-guerres qui a servi pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il a été développé à la suite du changement de spécification qui avait conduit à la conception de l'AMC 34,
appelant à un véhicule non seulement bien armé et mobile, mais aussi bien blindé.
Le "Plan 1934" exigeait que les chars AMC 34 actuels soient immunisés contre les canons antichars.
L'AMC 34 a dû être repensé afin de supporter le nouveau poids.
Malheureusement, l'armure maintenant de 25 mm sur l'AMC 35 ne fournissait toujours pas la protection demandée.
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Le 3 juin 1937, le ministre belge de la défense, le général Henri Denis, demande l'envoi du prototype unique en Belgique.
Il a été transporté le 4 juin.
Initialement 25 chars ont été commandés.
Après que des essais entre le 23 et le 27 août 1937, ses capacités d'escalade étaient médiocres,
les Belges décidèrent que les sept chars destinés aux Chasseurs Ardennais étaient inutiles
et réduisirent la commande en conséquence à dix-huit.
L'arrivée du prototype avait cependant provoqué une querelle politique.
Les politiciens de droite craignaient qu'il ne contrarie Hitler et ne mette ainsi en danger la neutralité belge.
Les politiciens de gauche ne voulaient que des armes purement défensives.
Les livraisons ne se matérialisant pas, il fut décidé en décembre 1937 d'annuler complètement la commande des 18 chars restant,
d'accepter une amende contractuelle de quatre millions de francs
et de réaffecter le budget restant à la production de chasseurs de chars T-13 de fabrication artisanale.
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Ils ont finalement achetés 12 chars d'une version belge du Char Français AMC 35 (Renault ACG-1) appelée ACG-1 Belge.
Les exemplaires belges furent rebaptisés Automitrailleuses de Corps de Cavalerie.
Les tourelles étaient équipées par la Belgique d'un armement différent.
A la place du canon français SA35 L/42 de 47mmm, un canon belge FRC modèle 1932 de 47 mm était installé étant plus court de 15 mm.
La mitrailleuse était également différente avec une Hotchkiss (Maxim) 08/15 MG de 7,65 mm rechambrée en option.
Les tourelles belges ont été produites à Nantes sous le nom d'APX2 B, qui avait le diascope du côté gauche déplacé vers la facette arrière,
pour le chargeur de tambour pour la mitrailleuse Hotchkiss (Maxim) 08/15 MG de 7,65 mm.
Des sources plus anciennes prétendent à tort qu'une mitrailleuse Hotchkiss de 13,20 mm était installée.
Une plaque de blindage a été soudée sur le trou d'origine de la mitrailleuse.
Ils ont été reconstruits à Gand par la SEM (Société d'Électricité et de Mécanique Van den Kerckhove & Carels) entre septembre 1939 et février 1940.
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La production en série n'a commencé qu'en novembre 1938.
et la livraison effective des trois premiers chars en Belgique a été retardée jusqu'au 30 mars 1939.
Le deuxième lot a été exporté en mai 1938 et les trois derniers chars sont arrivés le 7 août 1938.
Ainsi, la Belgique étant le seul utilisateur à créer des unités actives avec c'est 12 chars.
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En 1938, les tourelles furent également livrées à la Belgique.
Comme il y en avait maintenant un surplus de quinze tourelles, celles-ci ont été utilisés sur des fortifications.
Treize d'entre elles sur des casemates de défense côtière belge.
Deux autres tourelles ont été installées sur des casemates à Remouchamps où une forteresse devait initialement être construite,
mais en raison du manque de fonds, seules deux casemates ont été construites.
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Plus tard, les chars belges combattirent désespérément entre le 17 et le 27 mai 1940.
Deux ont apparemment connu des pannes, et quatre ont été détruits par le feu concentré habile des escouades allemandes Pak 37.
Les 6 chars survivants ont été capturés lors de la capitulation des Belges le 28 mai 1940.
Deux chars ACG-1 Belge (Renault ACG-1 Belge) ont été récupérés par l'Armée Allemande.
Leur sort est inconnu.
Il est possible que les tourelles aient été envoyées vers les fortifications côtières belge,
tandis que les coques sans tourelle aient été utilisées pour l'entraînement,
ou converties en schleppers (réservoirs de ravitaillement).
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Les tourelles belges placé le long de la coté sont récupérées par les allemands
et deviendront des éléments du futur mur de l'Atlantique.
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Il pourrait apparaitre en Jeu sous Bxx_ACG-1.
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